Stagiaire : la durée du stage en cas d'absence

Congés rémunérés

Les congés concernés sont les suivants :


Ces congés sont pris en compte dans la durée du stage pour un 10è de sa durée statutaire au maximum.


Exemple :

36 jours pour un stage d'un an (365 jours). Les jours de congés pris à partir du 37e repoussent d'autant la date de fin de stage.


En cas de congé de maternité, d'adoption ou de paternité, la titularisation prend effet à la date de la fin de la durée statutaire du stage sans tenir compte de la prolongation.


La prise en compte pour un 10è de la durée du stage est un maximum, quel que soit le nombre et le type de congés rémunérés dont le fonctionnaire bénéficie pendant son stage.


Exemple :


Si le stage est interrompu plus de 3 ans par des congés successifs de toute nature (rémunérés ou non rémunérés), le fonctionnaire doit refaire la totalité du stage.

Congés non rémunérés

Les congés concernés sont les suivants :


Ces congés non rémunérés ne sont pas comptabilisés comme temps de stage. Ils reportent donc la date de fin de stage du nombre total de jours d'absence.


À la titularisation, le congé de solidarité familiale est intégralement pris en compte dans le calcul des services retenus pour le classement et l'avancement.


Si le stage est interrompu plus de 3 ans par des congés successifs de toute nature (rémunérés ou non rémunérés), le fonctionnaire doit refaire la totalité du stage.